Demain sort le troisième film sur Captain America, et je me suis dit qu’avant de se plonger dedans (et aussi avant de proposer la critique du film ce jeudi puisque je verrai le film assez tôt, pour une fois), il serait bon de rappeler les événements qui se sont produits dans les 2 films précédents. Que je me suis retapé bien évidemment, et à l’heure où j’écris cet article, tout est encore frais dans ma tête, ce qui est assez pratique en effet. Sur ce, on ne va pas blablater davantage et donc résumer les événements principaux (blagues compris) des 2 premiers films et ce avant la sortie de Captain America : Civil War.
Ce qu’il s’est passé dans Captain America : The First Avenger
Dans le premier film, on nous présente Captain America pour la première fois, sachant que pour cela, on retourne dans le passé et plus précisément en 1943, durant la seconde guerre mondiale. En réalité, au début du film, une équipe découvre le fameux bouclier et par la suite, on entre dans l’histoire du premier film par un flashback.
On suit alors Steve Rogers, le héros du film qui veut s’engager dans l’armée bien qu’il n’a pas le physique ni la santé pour. Sa demande sera rejetée jusqu’à sa rencontre avec le Docteur Abraham Erksine qui va donc le faire entrer dans l’armée. De plus, Erskine souhaite créer une armée de super-soldats et Steve sera donc le premier à subir cette transformation. Il en ressort plus musclé (comme l’acteur, de base) et donc plus puissant. Entre temps, Steve fera la connaissance de Petty Carter (qui aura le droit par la suite à une série nommée Agent Carter) avec qui on sent qu’il va se passe quelque chose mais au final… Et donc tout le reste du film ne sera que combat de guerre, contre le méchant de l’histoire qui veut contrôler tout. Pour en venir à la fin du film, Steve décide de faire atterrir l’avion qu’il n’arrive pas à contrôler dans la glace. Il sera congelé pendant 70 ans, se réveillera dans une réplique d’un hôpital des années 40 mais le match diffusé par la radio va trahir tout ça puisqu’il avait déjà vu ce match. Il s’enfuit et se retrouve dans un New York de 2011 où les beaux bâtiments sont parsemés d’affiches publicitaires en vidéo. Sérieusement, il y en a vraiment trop, et ça se remarquait d’autant plus dans ce film.
Je n’ai pas vraiment accroché au premier film que j’avais regardé la veille de la sortie du second film, pas au cinéma donc. Je n’ai pas accroché parce que les histoires se déroulant à la guerre ne me passionnent pas, et le côté « L’Amérique c’est le meilleur pays du monde » m’énervait vraiment. J’avais l’impression que le film n’était pas fait pour une sortie mondiale tant ils n’arrêtaient pas de dire que l’Amérique était le meilleur pays du monde. C’est ce qui m’a énervé dans ce film. Heureusement, dans le second ce n’était pas le cas.
Ce qu’il s’est passé dans Captain America : Le Soldat de l’Hiver
Ce film est la suite directe des Avengers sorti en 2012. On retrouve Captain America et Black Widow (parce que même si ce n’est pas écrit dans le titre du film, elle est aussi une tête d’affiche puisqu’elle apparaît dans une bonne partie du film pour n’être qu’un personnage secondaire) et cette fois, ils doivent éliminer Hydra qui a réussi à faire de Captain America l’ennemi du S.H.I.E.L.D.. De plus, le meilleur ami de Steve Rogers, mort dans le premier film, est en réalité vivant mais récupéré par Hydra pour en faire un monstre à qui on efface la mémoire pour s’assurer qu’il ne reconnaisse pas son meilleur ami. Dans le second film, on a bien évidemment de la baston, mais j’ai bien aimé ce film parce que cette fois, ils n’ont pas vanté l’Amérique à tout va donc c’était assez agréable et puis même, j’ai personnellement retrouvé l’esprit Marvel actuel au sein de ce second film.
Voilà donc pour les rappels de l’univers Captain America. Rendez-vous donc CE jeudi pour la critique du dernier film Captain America : Civil War, que j’attends avec impatience du coup.