Les orgasmes, c’est bien. En produire, c’est encore mieux. Cependant, si on s’intéresse souvent au côté positif que l’orgasme provoque, on a tendance à oublier la face cachée de l’orgasme. Si jamais tu as un esprit assez curieux sur le sujet ou encore que tu veux impressioner les filles en soirée, alors tu es tombé sur le bon article puisqu’ici je vais te livrer 5 faits étranges sur les orgasmes !
Le trouble de l’excitation génitale persistante
Lorsqu’une fille est atteinte de ce trouble, elle peut avoir plus de 100 orgasmes par jour en moyenne et ces orgasmes interviennent de manière aléatoire durant la journée, même quand elle fait des activités anodines. La fille ne peut pas contrôler ces orgasmes, et quand l’un d’eux se termine, un autre fait son apparition.
Les orgasmes médicaux
Au 19ème siècle, les femmes pour 75% d’entre elles étaient atteintes d’une maladie provoquant l’anxiété et l’irritabilité. Au début, la maladie était reconnu comme étant de l’hystérie mais aujourd’hui, elle serait diagnostiqué comme une frustration sexuelle. Mais à l’époque, les gens étaient coincés sur le sexe donc on a fait passer cette frustration pour une maladie avec des médicaments qui étaient prescrits. De plus, des médecins professionnelles pratiquaient des massages génitaux aux patientes jusqu’à ce qu’elles atteignent l’orgasme.
Les orgasmes et les calmants
Durant l’orgasme, le cerveau est rempli d’endorphines, qui est un calmant puissant. Suite à une recherche par Stefan Evers, un neurologiste allemand, 60% des patients interrogés n’avaient plus de mal de tête après un orgasme, mais chez les femmes la douleur peut être d’autant plus forte après l’orgasme, de l’ordre de 107%.
Pas besoin de sexe
L’orgasme fait souvent suite à un acte sexuel mais parfois, le cerveau peut recréer cette sensation en formant à nouveau le système nerveux à déclencher de nouveau l’orgasme dans certaines parties du corps. Cela arrive notamment chez les patients qui ont des douleurs à la colonne vertébrale. Ils n’avaient qu’à sucer leurs doigts.
Le cancer de la prostate
L’école médicale de Harvard a montré suite à des recherches que l’orgasme masculin pouvait à terme réduire la probabilité d’avoir le cancer de la prostate : Ceux qui éjaculent 21 fois par mois ont 22% de chance de moins de le développer.