L’université, quelle belle période quand on y pense ! Enfin, quand tu sais que c’est le moment où tu rencontres plein de personnes de milieux et de cultures différentes, tu sais que c’est bon signe. Sauf s’il n’y a pas assez de mélange de culture. Enfin bref, de toute manière peu importe parce que s’il y a une chose sur laquelle tu peux être sûr, c’est que l’université regorge forcément de ces 15 profils de personnes (homme comme femme, on ne fait pas que dans le masculin pour le coup). Et c’est ça qu’on va voir aujourd’hui.

Le mec dont son père est déjà passé par là, donc il suit ses traces

C’est comme si son père lui léguait l’université. Non, c’est seulement que le mec ne prend pas de risque. Son père s’est éclaté dans cette fac, alors pourquoi pas lui ? C’est clair que si son père lui a raconté toutes ses anecdotes de l’université, ça n’a dû que donner envie au mec de faire comme lui ! Sauf si l’université est morte entre temps.

Le mec qui a déjà tout prévu pour son avenir… à 18 ans

Ne discute pas avec cette personne. Ils vont utiliser ça comme excuse pour parler de leur épopée. C’est-à-dire pourquoi ils vont faire une double licence en vue d’entrer dans une haute école de commerce (dont certains où ils ont déjà travaillé sur les concours d’entrée), te dire à quel âge ils comptent se marier et quand ils prévoient de partir en retraite. Ne leur demande pas ce qu’ils veulent pour le déjeuner. Ils ne pensent qu’au futur. Le présent, c’est une perte de temps pour eux.

Celui qui ne fait rien mais qui arrive à s’en sortir quand même

C’est ce mec qui a 11 de moyenne au premier semestre. Comme dans son université il existe un système de compensation, il peut avoir 9 au second semestre et ainsi passer à l’année supérieure. Après, il sera refusé pour les masters mais hey, avec la réforme de prévu il pourra quand même en intégrer une. Merci la réforme des Masters.

Celui qui se doit de se la péter, même si les autres s’en fout

Il est là, tu vois. En soirée, en journée. Il doit se la péter comme par exemple en mentionnant le fait qu’il fasse de la musculation. Seulement, les gens s’en foutent et le laisse parler. Mais après, qu’il ne s’étonne pas s’il passe de plus en plus de samedis soirs à soulever de la fonte plutôt que des filles.

Le mec trop enthousiaste

Pour lui, le high-five c’est sa marque de fabrique. Il te le fait à chaque fois, il a toujours le sourire. Il aime mettre en avant l’association dans laquelle il travaille et il aime te rappeler que c’est lui qui organise la soirée étudiante de jeudi soir où tu n’iras pas car de toute façon, il y a mieux ailleurs.

La fille qui juge un peu trop quand même

Ugh c’est son mot qu’elle utilise trop souvent si on me demande. Elle juge encore et encore mais en attendant, elle n’aime pas être jugée à son tour. De plus, elle a tendance à facilement critiquer mais, tu l’as compris, n’aime pas quand on parle derrière son dos. Un dos qui ne doit plus la supporter, à force.

L’accro de la BU

Tu trouves souvent ce genre de personne à la bibliothèque universitaire toute la journée, dès que c’est ouvert. Ils sont là pour lire le plus d’ouvrages possibles et ce même si ce n’est pas obligé de les lire.

Le mec qui ne fout rien de sa vie et qui encourage les autres à faire de même